lundi 5 octobre 2020

Week-end 1 / 3 et 4 octobre 2020

Pour ce premier week end à La Pourraque, 26 Présents dont 19 adultes, + une version "à distance" les 10 et 11 oct sur les mêmes textes.

Penser l’impossible. Se laisser surprendre par l’inattendu….

Avec François : Comment oser, espérer un autre monde ?

  Présentation du thème de notre nouvelle  année par Jean-Bernard :

« Oser le monde d’après, 

             à l’école de saint François »

Bienvenus dans le monde d’après… après le COVID et le confinement.

Des après, il y en avait déjà eu avant: SRAS, H1N1, mais pas à 1 million de morts… sauf peut-être le SIDA.

Pourquoi à l’école de St François ?  Bien sûr, c’était un thème proposé par certains que la vie de St François, qui évoque le respect de la nature, de Dame Nature, avec en écho notre François contemporain : Le choix de ce prénom est prophétique, en cette période d’apocalypse, de rupture, de passage :

Ø il y a eu celui du monde rural au monde industriel, à la fin XIXème siècle.

Ø Celui du monde industriel au monde technologique, durant le XXème siècle, poussé par les différentes guerres, moteurs de découvertes merveilleuses… ou pas :     

o       l’atome : de la bombe H aux centrales nucléaires.       

o       l’aviation : des stukas et autres rafales à Airbus

o       Les transports en général : 1ères autoroutes (allemandes) pour acheminer rapidement des troupes et des canons, trains, automobiles…

o        Progrès  de la médecine et de la chirurgie : le largactyl, 1er neuroleptique, est découvert par Henri Laborit, médecin militaire, de même que le GHB, 1er anesthésique digne de ce nom. Une majorité de techniques et définitions en anatomie, portent également des noms de chirurgiens, tous militaires…

 Ø Nous constatons que toutes ces évolutions sociétales ont apporté un confort certain et une augmentation notable de l’espérance de vie, mais au détriment progressif de notre planète Terre, d’abord en terme de pollution, puis désormais, d’épuisement des richesses…les ressources d’une année s’épuisant dès le 21 juillet l’an dernier, plutôt vers le 14 août cette année, par la vertu du confinement pour COVID ! 

Ø Nous arrivons donc au bout d’un cycle, dont le COVID n’est qu’une conséquence, en rapprochant l’homme des animaux sauvages, à force d’empiéter sur leur biotype, de la chauve-souris au pangolin.

Ø Et là, que faisons-nous ??? on continue comme avant et on fonce dans le mur ? ou on réfléchit ?

 1)     Le 1er WE  nous interpellera sur notre façon de fonctionner jusqu’alors… pour savoir comment continuer… autrement !   Les allemands en 40 ont été plus futés que nous, qui étions restés dans la dynamique des tranchées pour arrêter l’ennemi : Plutôt que de foncer dans le mur de la ligne Maginot, ils l’ont tout simplement contourné. Quoi de plus simple ? 

Comment continuer autrement ?

Par exemple, la moitié des métiers de demain n’existe pas encore…       

Autre exemple : la décroissance n’étant naturelle pour personne, en 1789,  l’assemblée constituante a un peu « aidé »  les nobles à « partager » pour une meilleure justice sociale et sociétale, votant l’abolition des privilèges, la nuit du 04 Août. Plus de 2 siècles après, hormis les châteaux devenus mairie ou maison du peuple, ou ceux vendus par nécessité, certains ont réussi à conserver ces gouffres à finances, en inventant des lieux commerciaux, hôteliers, industriels viticoles, voire de manifestation culturelle, tel au « Puy du pas si fou que ça, finalement », nous rappelant que seuls les dinosaures ont disparu. Les autres espèces, qui se sont adaptées, ont survécu en évoluant…                   

Nous sommes condamnés à nous adapter, sinon, comme au pliocène, le monde continuera… mais sans nous !                                                                                                                        

En langage catho, on dirait : l’Esprit souffle où il veut, il ne nous suffit que de prendre le vent, et se laisser porter, attentifs à l’inattendu de Dieu… sur les traces de François, parti faire la guerre à 20 ans et fait prisonnier, croupit de longs mois en prison : immobilisation qui lui permettra de réfléchir sur sa soif d’absolu, et favorisera peu à peu sa conversion : rêve de gloire humaine et guerrière :0 / Inattendu de Dieu 1.

2)     Le WE 2  abordera le thème le plus classique de la vie de François, le plus décisif de notre survie : Passer de « piller les ressources de la terre, les accaparer au max par tous les moyens possibles imaginables, y compris la guerre » à « accueillir la beauté du monde et la transmettre à nos enfants, avec louange et gratitude » : Tout un programme, à l’encontre de ce que la société humaine, presque toutes les sociétés, ont fait depuis tant de  siècles…         Cupidité suicidaire mais persistante, de plus en plus incompréhensible, à l’heure ou l’Amazonie brûle à petit feu, ce poumon du monde sans équivalent !          Toutes les marches pour le climat et autres cop 21 et plans de réduction du CO restent encore actuellement très symboliques…

Gréta Thunberg n’est pas Jeanne d’Arc, pourtant,  le bûcher médiatique n’est pas loin, rapide à la ridiculiser, plutôt que de s’interroger sur son message : autiste,  «  famille fantasia zinzin » : quand le doigt montre la lune, l’imbécile regarde le doigt, dit le proverbe chinois ! GT est  ce qu’elle est,  et Macron n’est qu’un homme politique…

« Laudato si » dépassera-t-il la sphère catho ?

3)     Le 3ème WE nous rappellera que le changement se fera ensemble… ou pas du tout : on ne se sauvera pas tout seul, dans son coin : de l’individualisme au bien commun, là encore sur les traces de François : renoncer à être riche tout seul, comme drapier, en partageant la joie retrouvée d’une vie selon l’évangile.

 Utopie, risque théorique ? ces interrogations, à l’échelle individuelle, sont les mêmes à    l’échelle des pays, comme l’illustrent les vagues de migrants politiques et climatiques à travers la Méditerranée, et depuis peu, la Manche…

 Comment être heureux avec moins ?     

 Déjà en se réconciliant avec les maths : Soit une terre dont les ressources de l’année sont déjà épuisées le 21 juillet, une classe moyenne émergeante dans des pays eux aussi émergeants (style Chine ou Inde), revendiquant le même pouvoir d’achat/PIB que les occidentaux, soit une population croissante, et des ressources finies, Question : « combien de temps avant la 1ère vraie guerre pour l’eau » (je dis « vraie guerre», parce qu’en fait, le processus a déjà débuté, entre les sociétés Véolia ou Suez, qui gèrent les grandes métropoles d’Afrique ou du tiers monde,  ou bien les pays par le biais de construction de barrages, ou de détournement de fleuves…(Pour l’eau, le monde d’après, c’est quand la majorité du public percevra qu’il achète avant tout une bouteille de plastique… avec un peu d’eau dedans !)

 Jusqu’à présent, lorsque les pays sortaient de leur individualisme, c’était pour des plans de coopération essentiellement économiques, pour favoriser les grandes sociétés à actionnaires, principalement des US, temple du capitalisme dur : ALENA (Amérique du Nord) MERCOSUR (US-Amérique du sud), CETA (Canada-Europe), avec les US derrière le Canada en poupée russe.

Le « bien commun » ne gagne rien à ces traités, si on regarde le résultat : condamnation du Costa Rica à indemniser les cigarettiers US pour perte de profit, après le plan anti-cancer de prévention du tabac, ou autorisation de laver les poulets plumés à une solution antiseptique proche de l’eau de Javel…

On est loin du projet généreux en 1945 à la libération, de fondation de la Sécurité Sociale, ou en 1950, de création de la communauté européenne du charbon et de l’acier, prélude à la fondation de l’Europe.

 Plus simplement, au niveau du couple, ce passage de l’individualisme au bien commun ne serait-il pas, comme un raccourci de Tinder à l’harmonie familiale, ce commentaire de Thierry sur son couple : « « Pendant les premières années de notre vie conjugale, je ne faisais attention qu’aux défauts de Marion et à mes besoins. Maintenant, c’est l’inverse, je me focalise sur mes défauts et sur les besoins de Marion : Et ça change beaucoup de choses !. »

Ne serait-ce pas aussi ça, le monde d’après ? 

4)     Le WE 4  nous rappellera la confiance, même si elle est  objective et raisonnée, qui nous permettra de renoncer à tout maitriser dans le quotidien : lâcher certaines sécurités (notamment matérielles) pour retrouver de la liberté. Bref, faire un peu le chemin inverse des dernières années.

Accueillir/décider de « faire » un enfant, avant d’ « avoir » la maison, le boulot, la voiture ? 

Gagner moins pour plus de temps libre, social, associatif, paroissial…

Oser embrasser ceux qu’on aime  sans masque !

La pauvreté choisie du 13è siècle par François (qui n’est pas la misère, elle, à combattre), elle pourrait s’appeller de nos jours (par l’esprit, plutôt que par le niveau de vie): « décroissance », refus de la société de consommation, du « toujours plus » ,du  travailler plus, pour rembourser des crédits à 10.000€ le m², acheter des trucs qu’on aura pas le temps d’utiliser. Juste pour info, y’a 4% de chômage dans le Cantal ! Et je ne vous dit pas le prix du m² .

Un autre exemple du monde d’après, qui part de l’idéologie du « bonheur par la consommation » : L’apport des neurosciences dans la pub nous montre un mâle (barbe soignée de 48h) blanc, CSP+, vibrant de fierté et d’orgueil, seul au volant, le regard « bonheur de maitriser ma vie et le monde ».     quand une pub avec une jeune étudiante heureuse de partager sa voiture et son temps de transport avec des co-voitureurs ? A quand des voitures qui redeviendront simples, sans ressembler à des tanks de 2m de large, au lieu du sempiternel SUV bradé avant la mort (lente) du diésel ?

 5)     Et le 5ème WE pour finir : « Va, répare ma maison, qui tombe en ruine » : non, ça n’est pas un message des voyants de Medjugorjé, ni une parole de connaissance d’un groupe charismatique du 21ème siècle, relayé par La Croix : vous avez tous reconnu l’actualité criante (au sens de :  «  si ceux-ci se taisent, les pierres crieront » Lc 19, 40 ) du message reçu par François à l’église de San Damiano.

Que fait François ? (là, je déborde un peu du sujet, mais sur le plan symbolique, pas tant que ça, et  voulais vous partager n’ayant pas directement assisté aux évènements, ce que relate wikipédia.  Eux non plus, d’ailleurs, n’étaient pas là, mais ont épluché les minutes du procès, qui sont conservées) Donc, que fait François ?  Il répare au sens propre, au 1er degré ,  l’église de San Damiano, qui effectivement a un coup dans l’aile,  G du transept et dans le toit : il vend des tissus du magasin, se fâche avec son père, qui l’assigne en justice pour le déshériter. Devant le tribunal, François rend ainsi l’argent qu’il lui reste et ses vêtements et se retrouvant nu, il dit à son père et à la foule rassemblée :

« Jusqu'ici je t'ai appelé père sur la terre ; désormais je peux dire : Notre Père qui êtes aux cieux, puisque c'est à Lui que j'ai confié mon trésor et donné ma foi »

L'évêque d'Assise, l'enveloppant de sa cape, couvre sa nudité, peut-être un peu par pudeur, mais surtout pour signifier que l'Église le prend désormais sous sa protection.

L’église de San Damiano sera réparée par les dons des fidèles collectés par François, et peu à peu, il prendra conscience que ce sont vers les pierres vivantes de l’église, que Dieu veut l’envoyer voire même plus loin :

En 1219, saint François d'Assise rencontre le Sultan d'Égypte à Damiette, sur les bords du delta du Nil, en pleine folie d'une croisade. (vous imaginez le contexte, et la confiance de François…) Rencontre pacifique et bienveillante avec l'Islam, qui prend tout son sens dans notre début de 21ème siècle, où plus exactement la dernière actualité en matière d’Islam en France date … d’hier !

 Ce we essaiera de répondre à la question : « Mais comment passer du monde d’avant au monde d’après ? ». Nous verrons comment la galère sur laquelle nous sommes embarqués, peut se transformer en goélette légère, en conservant le cap, comme un fil rouge .

Pour cela, j’évoquerai pour terminer, un texte repris à chacune des 3 cérémonies de mariage auxquelles nous avons participé le mois dernier (et à mon avis, ce choix, en cette période difficile, n’est pas un hasard ) un texte de St Paul qui se terminait par : « l’Amour ne passera jamais… » 

 Bon week end à tous.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     

Introduction Week End 1 par Benoit  (a venir)

Texte du Samedi 3 octobre 2020

Apocalypse 21, 1-8

1-    Puis je vis un ciel nouveau, une terre nouvelle - car le premier ciel et la première terre ont disparu, et de mer, il n'y en a plus.

2-    Je vis la Cité sainte, Jérusalem nouvelle, qui descendait du ciel, de chez Dieu ; elle s'est faite   

belle, comme une jeune mariée parée pour son époux.

3-    J'entendis alors une voix clamer, du trône : " Voici la demeure de Dieu avec les hommes. Il aura sa demeure avec eux ; ils seront son peuple, et lui, Dieu-avec-eux, sera leur Dieu.

4-    Il essuiera toute larme de leurs yeux : de mort, il n'y en aura plus ; de pleur, de cri et de peine, il n'y en aura plus, car l'ancien monde s'en est allé. "

5-    Alors, Celui qui siège sur le trône déclara : " Voici, je fais l'univers nouveau. " Puis il ajouta : " Écris : Ces paroles sont certaines et vraies. "

6-    C'en est fait, me dit-il encore, je suis l'Alpha et l'Oméga, le Principe et la Fin ; celui qui a soif, moi, je lui donnerai de la source de vie, gratuitement.

7-    Telle sera la part du vainqueur ; et je serai son Dieu, et lui sera mon fils.

8-    Mais les lâches, les renégats, les dépravés, les assassins, les impurs, les sorciers, les idolâtres, bref, tous les hommes de mensonge, leur lot se trouve dans l'étang brûlant de feu et de soufre : c'est la seconde mort. "

Questions pour nous aider

Lire le texte à haute voix.

Analyser la structure comme d’habitude : repérer la structure (personnage, lieu, temps) du texte, puis en proposer un plan.

Repérer les oppositions et associations, les manques.

Au-delà de l’histoire qu’ est-ce nous dit ce texte ? Comment ce texte nous rejoint dans notre vie ?

·         Comment peut-on interpréter Jérusalem qui descend du ciel ? (c’est une cité, une figure particulière de Jérusalem)

·         Que vient instaurer ce nouveau ciel et cette nouvelle terre ?

·         Verset 3 quelle est la demeure de Dieu ?

·         Quels sont le ou les vainqueurs ? 

·         Comment sera ce nouveau monde ?

·         Qui aura droit à cet héritage ?

·         Quelle est la part d’action de l’homme dans cette nouvelle Jérusalem ?

·         Comment advient le monde nouveau dans ce texte ? 

·         Le texte nous parle de don reçu.  Il indique aussi que nos actes comptent. Que souhaitons nous changer pour le monde d’après ?

 

Pour illustrer le texte sur l’Apocalypse, quelques tentures du 14
e Sc, Château d’ Angers

 

     .... Je vis la Citée Sainte, Jérusalem nouvelle, qui descendait du ciel....                                                
 
                                                                 .... moi je lui donnerai la Source de Vie....                                                                                                                                                                                                    

Prière finale issue de la     

LETTRE ENCYCLIQUE   FRATELLI TUTTI   DU SAINT-PÈRE  FRANÇOIS
SUR LA FRATERNITÉ ET L'AMITIÉ SOCIALE

 http://www.vatican.va/content/francesco/fr/encyclicals/documents/papa-francesco_20201003_enciclica-fratelli-tutti.html

 

 

Prière au Créateur

Seigneur et Père de l’humanité,
toi qui as créé tous les êtres humains avec la même dignité,
insuffle en nos cœurs un esprit fraternel.
Inspire-nous un rêve de rencontre, de dialogue, de justice et de paix.
Aide-nous à créer des sociétés plus saines
et un monde plus digne,
sans faim, sans pauvreté, sans violence, sans guerres.

Que notre cœur s’ouvre
à tous les peuples et nations de la terre,
pour reconnaître le bien et la beauté
que tu as semés en chacun
pour forger des liens d’unité, des projets communs,
des espérances partagées. Amen !

Prière chrétienne œcuménique

Notre Dieu, Trinité d’amour,
par la force communautaire de ton intimité divine
fais couler en nous le fleuve de l’amour fraternel.
Donne-nous cet amour qui se reflétait dans les gestes de Jésus
dans sa famille de Nazareth et dans la première communauté chrétienne.

Accorde aux chrétiens que nous sommes de vivre l’Évangile
et de pouvoir découvrir le Christ en tout être humain,
pour le voir crucifié
dans les angoisses des abandonnés et des oubliés de ce monde
et ressuscité en tout frère qui se relève.

Viens, Esprit Saint, montre-nous ta beauté
reflétée en tous les peuples de la terre,
pour découvrir qu’ils sont tous importants, 

que tous sont nécessaires, 

qu’ils sont des visages différents de la même humanité que tu aimes. Amen !

 

Donné à Assise près la tombe de saint François, le 3 octobre de l’année 2020, veille de la fête du ‘‘Poverello’’, la huitième de mon Pontificat.

 

Soirée autour de la vie de St François









 

 

 

 

 

 

 

                                          

Texte du Dimanche 11 octobre 2020         

Matthieu 13, 34-30

 24- Il leur proposa une autre parabole : " Il en va du Royaume des Cieux comme d'un homme qui a semé du bon grain dans son champ.

25- Or, pendant que les gens dormaient, son ennemi est venu, il a semé à son tour de l'ivraie, au beau milieu du blé, et il s'en est allé. 

26- Quand le blé est monté en herbe, puis en épis, alors l'ivraie est apparue aussi.

27- S'approchant, les serviteurs du propriétaire lui dirent : "Maître, n'est-ce pas du bon grain que tu as semé dans ton champ ? D'où vient donc qu'il s'y trouve de l'ivraie ?" 

28- Il leur dit : "C'est quelque ennemi qui a fait cela. " Les serviteurs lui disent : "Veux-tu donc que nous allions la ramasser ?"

29- "Non, dit-il, vous risqueriez, en ramassant l'ivraie, d'arracher en même temps le blé.

30- Laissez l'un et l'autre croître ensemble jusqu'à la moisson ; et au moment de la moisson je dirai aux moissonneurs : Ramassez d'abord l'ivraie et liez-la en bottes que l'on fera brûler ; quant au blé, recueillez-le dans mon grenier. "

Questions pour nous aider

Lire le texte à haute voix.

Repérer les lieux, les personnages, les déplacements, le rythme du texte et les oppositions Proposer un plan.

Au-delà de l’histoire qu’ est-ce nous dit ce texte ? Comment ce texte nous rejoint dans notre vie ?

·         Quels sont les différents personnages et préciser leur place, leur rôle et leur séquence d’apparition ?

·        Où est-ce que je me situe : propriétaire, serviteurs etc ? Y a -t-il une responsabilité des hommes dans la présence de l’ivraie ? Comment interpréter la venue de l’ennemi pendant l’endormissement des gens ?

·         Comment cette parabole nous éclaire sur ce qu’est le Royaume des cieux ? Qu’est-ce que cela nous dit sur le monde d’après ?

·         S’il faut laisser le bon grain et l’ivraie pousser ensemble, faut-il changer le monde ?

·         Comment sommes-nous acteurs pour oser un monde d’après ?